vendredi 25 décembre 2009

La pierre poésitale (qui change le cuivre en césure)

Je gère en France d'une somptueuse aisance
de Charybde en Sylla
aussi bien qu'un Orphée
du dessous au dessus
du sens le sous aux ingénus
je me suis re-pausé, j'ai mis mon verre à nu
j'admire d'un coup d'œil
mon passé mon présent
ma pensée sans écueils, vogue aux mirmidons des grands
certes il ne suffit pas d'être apollon pour exister
au fil de l'haut vers le bas
au fond de ma pensée retrouve Thésée !
Mon galion dans une mer de con a été mis au bas
de l'irréel en réel la voile noir j'ai arborée, montjoie !
Au pied de cette falaise j'ai accosté
un roi tombe dans cette ère mise et là
cette déclaration de guerre
au père du feu contre la loi
au noir de mon verre
mon passé de l'irréel en réel je bois
je pleure les pieds nus
je vis les mains de soie
Oreste né de la mère
que je tue en vengeant mes pairs, Salis par la vue, tu vois
et-gis-the âme and co-rompu,
aux plaisirs du verre je meurs d'avoir bu en joie.
 
whouaf

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire