Le régime sarkoziste oppresse tous les citoyens d'où qu'ils viennent, quoiqu'ils croient : attendrons-nous de nouvelles réformes qui pourriront encore un peu plus notre situation déjà bien précaire?
Les lois racistes, la répression, la propagande médiatique toujours plus corrompue chaque jour, l'appauvrissement : nous vivons dans l'illusion de la démocratie sous prétexte qu'il y a eu vote. Serait-ce le premier suffrage menant à la dictature et à l'oppression ?
Dans ce simulacre de république, dans lequel le président loge à Versailles et s'octroie toujours plus de biens, l'homme doit retrouver son histoire et ne pas faire les mêmes erreurs. Quitte à être durement réprimés, choisissons de subir les conséquences de nos actes : « Il y a pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles ».
Serons-nous collabos ou résistants : à l'heure de l'exaltation de Guy Moquet nouvel emblème de la résistance, à l'heure de la rengaine « que veux-tu faire pour ton pays » ? Il est grand temps que les bottes du pauvre battent le pavé, crient à la résistance et reprennent ses droits.
Un devoir, sauver sa dignité : plus de corporatisme, plus de lutte individuelle ; devant l'attaque massive du gouvernement pour réduire l'homme à sa rentabilité, l'homme doit répondre par tous les moyens qui lui restent.
3 novembre 2007
Ces derniers jours nous ont montré que les attaques étaient multiples.
Venant d'une seule direction et touchant un nombre important de secteurs. Nous savons dès maintenant quelles seront en partie les conséquences (négatives) pour l'ensemble de la population.
Une réaction, un début d'organisation a été tenté et est en cours de construction. Nous verrons bien ce que cela donnera...?
Mais pour moi, j'en ai la conviction nous faisons erreur.
Nous ne sommes pas à la mesure de l' « événement » !
Le corps est passé en phase terminale, nous avons en face de nous une armée en ordre de bataille, ce ne sont pas des attaques sociales, mais une véritable vision politique, un grand récit, qui ne remet pas seulement en cause les fonctionnaires ou l'école publique, mais une grande partie de ce qui constitue notre identité et ce sur quoi le pouvoir assoit sa légitimité, le mythe de 1789.
Liberté, Egalité, Fraternité ou la mort ! On l'avait oublié et on avait oublié que ce n'était qu'à ce prix, qu'on pourrait obtenir et conserver le moindre acquis.
...il faut se méfier du loup qui dort, je dirais gare au mouton noir!
Nous voilà donc avec un gouvernement qui assoit sa légitimité sur la République française, tout en violant les droits et devoirs les plus fondamentaux de cette même République.
N'avions-nous pas dit que l'existence d'une démocratie implique l'existence de citoyens libres et égaux face à la loi ?
Le corps est malade, et il meurt de sa maladie.
On traite les symptômes, les effets sans s'attaquer à la source du mal.
Comment guérir une grippe ? Juste en se mouchant?
Moi, citoyen anonyme, je ne veux pas passer ma vie à me moucher.
Ne sous-estimons pas la maladie qu'est le capitalisme et donnons-nous les moyens de l'éradiquer. Le temps ne joue pas pour nous.
L'homme souffre, la société souffre et bientôt cette jolie planète bleue ne sera plus qu'un bon souvenir.
Il n'est plus le temps de construire, (un mouvement, un grand parti révolutionnaire....)
Il faut d'abord détruire !
Tous ensemble et plus déterminé que jamais, attaquons-nous à la racine du mal, la raison de tous nos maux et que dans cette émancipation (qui sera aussi une joyeuse fête) trouvons-y les ressources pour créer un monde meilleur.
Un autre Monde est possible? Commençons par le rêver !
Nous ne sommes pas seuls, ils ont les bombes, nous avons le nombre (et de surcroit l'article 35 !)
Vivre libre ou mourir....?
Pour finir je n'ai plus qu'une seule chose à ajouter, Aux armes camarades !!!!!!!!!!!!!!!!
PS : Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1793, article 35
« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. »
A tous les pros de la lutte, vedettes syndicalistes
Ce service après-vente d'engeance capitaliste
Assez criés de mots tous dénués de sens
Résistance, combat, tout ce qui met en transe
A trop vouloir penser, on en oublie d'agir
A trop vouloir chanter quand on se fait punir ;
Alors à tous ces hommes qui prétendent savoir
Connaître le remède à tous nos désespoirs
Moins de mots, plus d'actions, de détermination
Car un jour, dans la rue, nous nous reconnaitrons.
mardi 12 janvier 2010
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